« Après cinq années, il est difficile de lister toutes les satisfactions que j’ai à travailler chez Ouvry ! »
Déjà 5 ans que Pierre Rodde travaille chez Ouvry. Pour cette occasion nous avons décidé de lui poser quelques questions sur son expérience au sein de l’entreprise.
• Quel est votre rôle dans l’entreprise ?
Pierre : Je suis arrivé chez OUVRY en 2014, sur un poste de chef de marché France DEFENSE – Forces de sécurité et Forces de l’ordre. Marché que je pratiquais depuis déjà quelques années dans la distribution et la vente d’équipements de protection respiratoires NRBC.
Depuis, les choses ont beaucoup évolué pour moi. Je suis maintenant en charge du grand export tout en gardant un lien avec le marché Français. Je couvre trois zones de prédilection: l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Asie centrale, alors qu’OUVRY est maintenant présent dans plus d’une trentaine de pays !
• Pourquoi avez-avez-vous choisit Ouvry ?
Pierre : J’ai rencontré Ludovic Ouvry à différentes occasions sans savoir ce que faisait sa société créée en 2003. C’est à l’occasion d’un dîner dans une brasserie parisienne que j’ai découvert qu’il faisait de la recherche et du développement produit. Et qu’il fabriquait des équipements tels que la tenue NRBC Félin pour l’armée de terre par exemple. Son approche entrepreneuriale française, son dynamisme et l’esprit « canut » m’ont séduit. Etant moi-même un ancien militaire, j’avais durant cette première expérience dans le monde civil pu constater les fortes attentes d’amélioration et de modernisation du matériel NRBC. J’avais très envie d’être acteur et de participer à la conception d’équipements plus adaptés et plus performants que ceux que j’utilisais auparavant. Car effectivement, certains étaient en service dans les armées françaises depuis de longues années.
Tout s’est passé alors très vite. Une journée test avec Aurore durant un événement au sein des forces spéciales françaises ont suffi ! La journée FS, durant laquelle, j’ai croisé beaucoup de connaissances m’a convaincu ! J’ai donc décidé que c’était là que je voulais travailler et m’engager. Depuis, j’ai constaté, avec le recul, qu’on ne vient pas chez Ouvry par hasard ! Travailler pour une PME industrielle française, créée par un jeune ingénieur visionnaire c’est bien mais exprimer ses idées et savoir que cela peut déboucher vite sur des réalisations concrètes, ça c’était le top ! Je n’ai pas été déçu, je vous l’assure !
De plus, l’esprit d’équipe qui règne encore aujourd’hui chez Ouvry, favorise l’écoute active, la solidarité et l’échange. Chacun peut exprimer ses idées, et chacun recherche et propose alors des solutions pour atteindre l’objectif commun: « donner aux forces le meilleur de ce qu’on sait produire ». C’était ce qui comptait le plus pour moi, et c’est encore et toujours le cas. Cela ressemble singulièrement à ce qui anime l’esprit des Forces Spéciales.
• Qu’est-ce qu’il vous plaît dans votre travail ?
Pierre : Après cinq années bien remplie, il est difficile de lister toutes les satisfactions que j’ai à travailler chez Ouvry. J’en retiendrai trois, vous l’avez certainement compris : l’autonomie, la réactivité et l’esprit d’équipe. La confiance qui m’est accordée en tout temps et quelles que soit les circonstances, font que je m’y sens bien.
En cinq ans j’ai pu constater les avancées sur les tenues de protection, sur les masques innovants et sur bien d’autres équipements par exemple. En arrivant chez OUVRY j’ai été étonné et surpris par l’importance de la partie innovation, R&D et fabrication. C’était déjà impressionnant il y a 5 ans. Vous n’imaginez même pas le nombre de projets déjà très avancés, ceux qui sont enclenchés et ceux qui sont en gestation !
• Auriez-vous une anecdote à nous raconter ?
Pierre : J’aurais bien du mal à citer une anecdote ou un évènement qui marque mon engagement de ces 5 années. Cinq années qui sont d’ailleurs passé très, très vite. Il y en a tant et beaucoup doivent rester en « off » !!! Je retiens qu’à l’étranger on peut vite se retrouver dans des situations inattendues et variées. Entres autres les tensions et surveillance serrée. Ou alors, au contraire, invitation à déjeuner au plus haut niveau de l’état ou visite de lieux d’exception dont l’accès est interdit pour un simple quidam.
Plus généralement, mais aussi plus personnellement, je suis heureux d’avoir autant d’occasions de porter un nouveau regard sur d’autres cultures, sur d’autres problématiques que les nôtres, parfois futiles, et sur d’autres modes de vie.